Avec six films, Rocky est devenu l’emblème d’un sport, un peu au même titre que Zidane ou Michael Jordan en leurs temps. En effet, Balboa a un statut improbable pour un sportif fictif : petit, chacun souhaite devenir « aussi fort que Rocky ». Mais ce statut est avant tout la résultante d’un état d’esprit véhiculé pendant plus de trente ans. Et comme tout sportif voué à prendre une retraite bien mérité, il était nécessaire de trouver une nouvel icône.